20 octobre 2012
Que m’emporte
La mer La pleine forêt Le paysage est pour l’homme dans sa barque Pour le piéton le chemin creux Je ne reviendrai jamais Toi qui sais la vague Toi qui ouvres ta fenêtre lorsqu’au loin s’entend le vent Tu le comprends Nous n’aurons jamais le regard assez...