2 octobre 2013
Voyageur sans sommeil
Banlieusards en silence qu’emporte la banlieue A sept heures de la nuit Le matin et la chance s’éloignent, chaque lundiOh, deux bavards fricatifs, oh, deux bouches sibilantesTaisez vos médisances, cessez de ressasserLaissez la banlieue filer son rêveMême...