22 mai 2012
Le marque-page
Les livres s’ouvrent seuls aux pages où l’on s’apaise Ils disent quel fardeau sombre aux remous de la Loire Toutes les idées de l’ombre le long de la rivière et sur le bois flotté Les livres savent le sommeil de l’ivrogne Ils disent quel fardeau s’engloutit...